Bon alors, j'vous explique... J'ai passé toute la semaine dernière sous speed, à sortir en boite quasiment tous les soirs, et c'était une bête de semaine :D

Elle m'a vu arrêter ce fameux Grundkurs à 8 ECTS, vu qu'on avait un exposé à faire avec Antoine, qu'il était encore en France la veille de passer, et que moi un jour plus tôt j'avais obtenu 6 ECTS au lieu de 4,5 pour le chinois au premier semestre, ce qui me faisait un compte tout rond de 27 crédits au premier, et potentiellement pile poil 33 au deuxième en arrêtant ce cours.

Evidemment ca me laissait une marge proche du néant, mais au moins les choses étaient claires et fixées. Tout réussir, ou rien. Après un week-end de sevrage assez douloureux, j'ai réussi les 2 partiels de lundi qui étaient des cours de langue, épreuves symboliques mais tellement appréciées...

Mardi matin, levé à 7h, deux heures de révision avant mon grand oral sur l'élargissement de l'UE. Le prof est une crème, il me passe les points tout va bien.

Prochaine étape, ce matin, jeudi, le cours de traduction qui devait être du gâteau. Hier aprem, on en fait plein (des gâteaux), on se fait une grosse bouffe le soir, et je motive alan et stefan pour retourner au Schaff, lieu de villégiature nocturne préféré depuis que j'essaye de serrer une Irlandaise qui y va tous les soirs, ou presque. Donc on se la colle, pas de soucis, je me dis que je vais pas rentrer tard, mais 5 heures de sommeil avant l'épreuve à 10h devraient suffire.

Vous connaissez déjà la suite, non non, pas de syndrome du Schaff, pas de j'me barre, mais au lieu de serrer la meuf que je veux je serre sa copine, niquel quoi >.< , et ensuite j'me barre (Et ouai, faut bien quand même). Je rentre vers 5h, fout mon réveil, me réveille à 11h30, pète un câble.

J'ai trop géré quoi, maintenant j'suis grave dans la merde, j'arrête la colle, le Schaff, et les conneries.

La vie ici, c'est quand même trop d'la balle, autant donner dans le n'importe quoi à coeur joie. Encore 3 semaines.